Une étude de l’université d’Oxford montre que prévu 80 % des personnes ne font pas la différence entre des deepfake et de vrais vidéos.
Ces menaces concernent les particuliers mais également les entreprises qui peuvent être sujettes à des tentatives d’escroquerie en recourant à ce moyen.
Les deepfake pourraient par exemple être utilisés pour tromper la reconnaissance faciale protégeant certaines données, pour des tentatives d’atteinte à la réputation en utilisant le visage du PDG de grandes entreprises, ou pour de la fraude on se faisant passer pour un employé pour obtenir des informations confidentielles.